village de Dogofiry au MALI

Hitoires vecue


Mosquées

 

La généralité des mosquée :


la première mosquée de Dogofiry fut celle de Conthiga. Une mosquée planquée en place publique entourée des quelques pâtés des maisons et quelques fidèles qui font office derrière un Imam.


Au fil des ans, le village s'agrandit, la population aussi, les fidèles sont devenus des plus en plus nombreux au point que la mosquée est aussi devenue trop petite et trop éloignée des certains fidèles; alors Tankhaliba se voit construire leur mosquée en place publique comme toutes autres mosquée.


Toutes les deux, on y pratique les offices des prières normales obligatoires. Les prières de vendredi n'est pas encore fait son entrée dans ce village. Quand aux prières de deux fêtes, pour la fête de fin de ramadan, elle eue lieu dans et autour de la mosquée de Conthiga; pour la prière de tabaski, en dehors de l'habitation et l'Est du village, donc la zone de Tankhaliba. Chaque prière publique rassemblée, c'est l'Imam de Tankhaliba qui dirige les fidèles deux mosquées réunies


Fin des années soixante (1968), les ressortissants de Dogofiry, en leur tête, ceux de France organisent la construction d'une grande mosquée pour l'office des prières de vendredi. Au terme des discussions, un consensus fixant un certains nombre des accords, notamment: lieu de l'implantation, montant de la cotisation. La mosquée sera construite à Tankhaliba, elle assurera la prière de vendredi pour l'ensemble des fidèles et aussi prières normales obligatoires pour Tankhaliba.


Pour cela, les ressortissants de Tankhaliba payent double de la cotisation. Une close spéciale supplémentaire:au cas où la cotisation fixée ne parvient pas à terminer la mosquée, le reste des frais sera à la charge de Tankhaliba.


De 1968 à 1971, la mosquée commune est construite comme prévue à Tankhaliba. Elle est inaugurée en 1972 sous la direction de l'Imam de Tankhaliba c'est le même qui dirige les prières de vendredi jusqu'en 1996, c'est tout au début de conflit d'argent. Jusqu'à présent aucune contestation n'a été opérée à son sujet.


En 1997, cet illustre personnage est décédé, au cimetière, en lieu même de son enterrement que des gens de Conthiga annoncent publiquement à tous ceux qui veulent entendre que : désormais la prière de vendredi sera dirigée par l'Imam le plus âgé du village et non uniquement par un Imam de Tankhaliba. Quelques mois après cette annonce de provocation, pour conserver l'unité, Tankhaliba concède, un Imam de Conthiga est devenu l'Imam le plus âgé et dirige la prière de vendredi. À sa mort, son fils aîné devenu son successeur....


En 2005, des démarches ont été entamées en France pour reconstruction de la mosquée de vendredi devenue trop vétuste. Ces démarches ont été abandonnées défaut d'un terrain d'entente. Au cours de la même année, la demande venue du village, en tête, le chef de village réunissant un certain nombre de chef des familles et les Imams des deux mosquées formulent une demande officielle de reconstruction de la mosquée aux ressortissants du village, quelques soit son lieu de résidence dans le monde.


Le chef des ressortissants en France (une personne de Conthiga) réunit une assemblée générale afin de donner une suite à cette demande. Conthiga forme un bloc pour un non sous ses différentes formes, notamment:

  1. ouverture d'une enquête sur l'utilisation de l'argent cotisé en 1967-1968, (soit près de 40 ans) pour la construction de la première mosquée. il faut une enquête de fonds pour savoir si cet argent est utilisé au bon échéant. À défaut, nous ne participerons pas à la reconstruction de la nouvelle mosquée.

C'est à dure toutes les personnes qu'étaient aux affaires sont pratiquement tous mort ou n'est plus en mesure de se défendre et justifier de preuves, encore pour créer un nouveau polémique au sein de la communauté.


  1. Pour ce que concerne l'Imam de la mosquée de vendredi, l'Imam n'est plus à un imam à vie. Mais tant que l'Imam n'est pas en mesure de diriger lui même l'office, c'est son successeur par âge qui dirigera la prière.

C'est tout une série des conditions qui se succédèrent. Tant que ces conditions ne seront garanties et transcrite en document administratif, Conthiga ne participera pas d'un centime à la reconstruction de la nouvelle mosquée. C'est comme si l'on voudrait dire: quand le chef de village n'est pas en mesure d'assurer lui même, et s'il est en voyage ou en déplacement, c'est son successeur qui le remplace et non ses assistants. À l’issu de cette réunion, des gens ont faillit arrivée à main.


Suite à ce traitement humiliants, les jeunes Tankhaliba sentent subit, ils décidèrent:

  • conserver l'actuelle mosquée en état et en place.

  • construire une nouvelle mosquée à Tankhaliba en lieu la première mosquée de Tankhaliba, pour des fidèles venus de tous les horizons sans condition.

2006, démarrage des travaux de construction.

Janvier 2007, lors de l'inauguration de la nouvelle mosquée moderne construite en deux niveaux, Conthiga tente à tout prix, même financièrement parlant pour empêcher l'ouverture de la mosquée. L'administration locale, religieuse et des personnes influentes de Diafounou ont été dopé des informations infondées. Une forte délégation formée depuis France et Dakar complétée des ressortissants de Tankhaliba établis à Bamako. L’événement est couvert par la télévision nationale. La mosquée est finie par s'ouvrir malgré tout. À cette date précise, la scission est effectif au niveau de pratiquer des offices en commun. Chacun son Imam et Bon Dieu pour tous !


11/11/2012
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Le marékaffo, l'épilogue

 

Association dénommée « le Marékaffo »


Exemplaire parmi des villages du cercle de Yélimané. Ressortissants de chaque village de la commune garde sa propre association en France, voire plusieurs associations pou un même village, les ressortissants de la commune rurale de Marékaffo en France, se sont regroupés en une association pour gérer des affaires communes. Un pas géant en avant, si toutefois que cela dure.


Association « le Marékaffo » a été créée, dans but de promouvoir et gérer l’ensemble des projets communs de la commune. En réalité, l’organisation existait bien avant, sa création en bon et dû forme de cette association; cette dernière action devra donner un élan et un sens supplémentaire à ses actions.


La composition de son bureau d’administration est aussi symbolique que jamais, car aucun Doucouré n’est occupe en première position aux postes stratégiques qui sont la présidence et la trésorerie ; reparties aux ressortissants dits de seconde zones des villages de la commune.


Toutes les formalités administratives nécessaires à la création d’une association ont été effectuées comme il se doit. Comme toute bonne association, elle confronté à un problème de fonds, dès le démarrage. Un prêt de dépannage tiré dans une caisse commune, en attendant qu’elle atteinte de sa vitesse de croisière. Ce fonds a permis de faire des démarches administratives, sa création et ouverture d’un compte en banque etc.


Le trésorier est responsable de la gestion des comptes, voir ses statuts et règlements intérieurs. Un premier projet débattu et déterminé, en assemblée générale et en parfaite coordination avec les villages de la commune. Cela fut la construction du mairie de la commune. Une cotisation est déterminée en fonction du projet, par le bureau et présenté en assemblée Générale.



Constatation de dysfonctionnement : récolte de la cotisation est confiée aux chefs de villages des ressortissants en France. Les mois passèrent, aucun, chef de groupe des ressortissants n’accepte de verser un centime, faute de faire confiance à l’autre. Chacun des chefs de groupe avance une explication ou un petit détaille justificatif.


La construction de la mairie fut également financée par les fonds d’une caisse commune, toujours à titre d’un prêt remboursable.


Le bureau de l’administration n’a pas la main libre de gérer l’association et n’a pas sut prendre des initiatives alternatives. Faute d’une administration compétente, aucune action concrète n’a été engagée.


Le bureau se contentait de gérer les affaires internes et piloter le chantier à son terme; ce jusqu’à ce que le président dû faire un faux pas.


Président, un ressortissant du village de Diyabougou, s’est prit dans l’étau. Un conflit de la chefferie de son village, Diyabougou, s’éclate, il défend sa, la famille le clan Sylla, contre toute la commune dont il est censé de représenter.


Deux casquettes pour une tête, difficile à gérer. Tacher de préoccuper à résoudre le problème de toute une commune et défendre son clan contre la volonté de cette même communauté est un exercice périlleux. Moindre faits et geste du Président était scruté, observé et noté par ses adversaires.


De jeux de mots, faits et gestes, ce jusqu’à un jour en Assemblée Générale, le Président se lâche publiquement devant un parterre de monde. Le bureau, notamment les Doucouré du conseil de l’Administration viennent en charge. Les jeux de mots doivent s’arrêter et s’arrête !


Désormais nous ne nous laisserons plus entrainer par quiconque dans ses dérives disent ils. Ils s’adressent à l’Assemblée Générale : pour la survie de l’association, un changement de bureau s’impose. L'actuel Président ne nous commande plus, sous aucun prétexte. Le consensus est enterré en Assemblée Générale.


À titre de vice Président, un ressortissant de Diakhadromou, convoque une réunion de conseillers de l’Administration quelques semaines plus tard, dans le but de recoller les morceaux. Il échoue, en raison : dés l’ouverture, celui-ci commence par ceci : en ce que me concerne, j’ai une urgence, je dois partir. Le Président est là pour continuer la suite.


Les Doucouré se sentent ridiculisés par le vice-Président, ils quittent la réunion : si vous nous aviez dit que la réunion présiderait par le Président, nous n’aurions pas venu.


La réunion de la dernière chance est échouée. Il n’a eu et n’aura aucune suite. Officiellement et officieusement, le Président nommé ne représenté plus la commune à quelques titres que se soit. L’association est aussi dissoute même qu’aucun papier n’est signé dans ce sens en préfecture. Aucune réunion de bureau, ou du conseil et aucune assemblée.


25/04/2012
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